L'Aquitaine de Papi à Bordeaux

SOMMAIRE
1. La Quincaillerie familiale
2. Les Mémoires de Papi (extraits)
3. Agathe, enfant abandonnée
4. Carnet d'élève de Denise Schneider en 1927

1. La Quincaillerie familiale
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La quincaillerie familiale bordelaise vers 1910

Vers 1910, la quincaillerie de Jacques PEYROUX dit "Cadetoun", 66 ans, avec sa belle-fille Jeanne LEONARD, 30 ans et Papi, son petit-fils Jean, 7 ans à l'époque.
Jacques (1844-1924) fut successivement pâtissier, glacier puis ouvrier dans une fonderie de plomb puis dans une raffinerie de sucre avant de tenir la quincaillerie familiale avec sa femme Jeanne "Daounine" LAVIGNE (1840-1930).

2. Les Mémoires de Papi (extraits: Les Origines)
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3. Agathe, enfant abandonnée, arrière-grand-mère de Papi
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Orthez - L'église et la place Saint Pierre

C'est à Orthez dans les Pyrénées Atlantiques, que s'arrête pour le moment une des branches maternelles de l'arbre PEYROUX vers 1809. Jacques PEYROUX dit "Cadetoun", dont la quincaillerie familiale est en photo plus haut, était le frère de Rose PEYROUX épouse BROCAS et grand-mère maternelle de Marie-Thérèse SARRADE, artiste peintre. On leur connait au moins un autre frère, Victor, mort au combat, peut être pendant la guerre de Crimée (1854-1856). Ils étaient tous trois les enfants d'Antoine PEYROUX, né vers 1809 et de Agathe "de l'Hospice d'Orthez" ! pas de nom de famille donc pour Agathe qui avait été abandonnée à la naissance par sa mère ce qui laisse peu de chance de retrouver la trace de ses parents.

Une demande de recherche faite à Orthez en Mai 1999 n'a effectivement pas permis de trouver plus d'information sur Agathe vue la réponse: "les Registres, actuellement en dépôt dans les archives du Centre Hospitalier d'Orthez [Rue du Moulin - BP 118 - 64301 ORTHEZ Cedex] et concernant les enfants abandonnés, les orphelins pauvres et les enfants placés dans les familles ne sont ouverts qu'à compter de l'année 1840", soit près de 30 ans après l'abandon de la petite Agathe !

Agathe, arrière-grand mère de Tatie Rose, et de Jean PEYROUX, avait, selon leurs souvenirs de discussions de famille, "été trouvée dans un bois, vêtue de beaux linges et recueillie par une famille qui avait déjà quatre enfants".

D'après une discussion avec un internaute généalogiste, François COYNE, du Cercle Généalogique des Pyrénées Atlantiques, "il y a eu beaucoup d'enfants dits "trouvés" à Orthez, parce que cette ville était dotée d'importants couvents munis de "tours" dans lesquels les nouveaux-nés étaient déposés dans l'anonymat le plus absolu. Les enfants ainsi déposés étaient déclarés périodiquement par groupes de 20 ou 30."

4. Carnet d'élève de Denise Schneider,  future épouse de Papi, en 1927
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